Le bouddhisme : La ligne de conduite
Les quatre vérités, données par Bouddha lors de son premier mon dans le Parc des Gazelles, sont les piliers du bouddhisme vie n’est que souffrance et à l’origine de la souffrance est le il est possible de supprimer le désir et de trouver le salut par le détachement suprême. Une morale les accompagne : la par pourra mentir, l’action ne sera pas contraire aux bonnes mœurs les métiers qui consistent à tuer seront exclus (boucher, chasseur chand d’armes…), les différences entre classes seront effacé un élan général de fraternité. Les progrès seront partagés : les bodhisattvas, disciples de Bouddhas, renonceront au nirvana po les hommes, l’enseignement sera considéré comme très important et l’encadrement sera généreux. Cette générosité ira jusqu’au suicide par le feu. La souplesse du bouddhisme lui permettra de s’adapter à toutes les cultures et de s’universaliser ! Sensation de Bouddha prendra des traits locaux, en CI exemple, et cette religion connaîtra un vif succès jusqu’à Unis puisque un américain sur mille est bouddhiste !
Cette morale conduira à la sagesse qui est compréhension bienveillance et renoncement. La méditation, concentration même, mènera à l’étape finale. Le nirvana est l’état de d ou d’illumination caractérisé par la dissolution du moi individuel
et illusoire. Il libère l’homme du cycle infernal des réincarnations. C’est l’état de conscience suprême et transcendantal. 11 est « incomplet » quand on a détruit toute illusion mais que l’on a encore un corps physique. Il est « parfait » au moment de la mort, toute joie ou souffrance, la conséquence des actes accomplis dans les vies antérieures, étant épuisée.
Plutôt qu’une religion, le bouddhisme est une morale, celle du renoncement, et une mystique, la descente dans le corps. Il n’y a pas de dogme et pas de dieu, quoique Bouddha, dans certaines tendances du bouddhisme, soit quelque peu déifié.