La pratique du judaïsme
Le judaïsme ne comporte pas d’Eglise constituée : il n’y a pas d’autorité suprême ni de clergé à proprement parler. Les rabbins sont des chefs spirituels reconnus pour leur connaissance des textes sacrés, mais ce sont des juifs comme les autres dont la réputation tient à leur sagesse et leur érudition.
Le judaïsme est avant tout un humanisme et un style de vie qui suit cependant des règles strictes. Pour un juif pieux, le respect de la loi est au centre de la pratique religieuse. L’observation scrupuleuse des préceptes repose sur l’étude approfondie des textes, ce qui s’accompagne parfois d’un certain formalisme.
Ainsi, toute représentation de Dieu sous forme d’image ou de statue est rigoureusement interdite, car on en viendrait à adorer une idole. Même le nom de Dieu est imprononçable :
comme il est, par nature, inaccessible et inconnaissable, on ne peut savoir Son nom. Le seul repère est constitué de l’équivalent en hébreu des quatre lettres YHWH qui désignent Dieu dans les Tables de la Loi remises à Moïse. Ces lettres peuvent s’interpréter comme signifiant « Celui qui est », mais leur prononciation est inconnue. On en a tiré arbitrairement Yahweh oujéhovah, mais les juifs disent plutôt l’Eternel ou Adonaï qui signifie « Seigneur »
Ce Dieu, hors de portée de l’homme, est cependant partout présent. Il est créateur de toute chose, Il mène, selon des voies cachées qui lui sont propres, le destin de chaque homme, celui de l’humanité et de tout l’univers. Il est aussi le Juge suprême auquel il nous faudra rendre des comptes et qui nous récompensera ou nous punira selon nos actes. Il n’y a donc ni hasard ni fatalité. Ainsi tout appartient à Dieu et le juif pieux ne saurait placer aucune barrière entre sa vie spirituelle et sa vie quotidienne.
C’est pourquoi le juif s’efforce d’étudier dans la Torah, y compris le Talmud, quel doit être son comportement en toute circonstance. L’homme met ainsi sa liberté au service de Dieu, dont il est, en quelque sorte, le partenaire.
Bien que les règles de la Torah soient édictées par Dieu, donc immuables, la pratique du judaïsme n’est pas restée identique à elle-même au cours des siècles. Ainsi les sacrifices d’animaux, partie importante du culte, devaient obligatoirement se célébrer dans le Temple de Jérusalem. Après la destruction de celui-ci par les Romains en l’an 70 de notre ère,
Il arrive même que, dans les textes en anglais, God soit écrit G-d pour marquer incapacité de prononcer le nom de Dieu.
ces sacrifices disparurent et le peuple juif dut se disperser. Cet événement tragique eut d’autres conséquences :
– Les prêtres, cohen en hébreu, célébrant dans le Temple, perdirent de leur influence au profit des rabbins dont la mission n’est pas sacrificielle mais consacrée à l’étude et à l’enseignement de la Torah.
– Les communautés juives exilées durent s’adapter à leur nouvel environnement culturel. C’est l’origine des deux grands courants du judaïsme fondés sur des rites différents. Les ashkénazes2, dont la langue est le yiddish (c’est-à-dire jüdisch-deutsch, «judéo-allemand ») sont les juifs d’Europe Centrale tandis que les séfarades, dont le nom signifie « espagnols » s’établirent dans les pays méditerranéens et adoptèrent pour langue de leur communauté le ladino, dérivé de l’espagnol médiéval.
– Outre la différence de langue, ashkénazes et séfarades se différencient par de nombreux autres éléments de leur culture. Ainsi les premiers ont gardé de leur passage dans les pays froids l’habitude de porter de longs manteaux noirs, particulièrement inadaptés au climat d’Israël. Sur le plan religieux, les deux communautés récitent leurs prières différemment et ont chacune leur grand rabbin à Jérusalem.
– Ces différences culturelles entraînent inévitablement des rivalités. Les ashkénazes provenant de pays plus développés avaient en général une meilleure formation technique ; leur arrivée massive en Israël avant et après la guerre de 1939-1945 leur permit de prendre le contrôle des plus importants rouages économiques et politiques du jeune Etat. Les séfarades, dont la natalité est plus élevée, ont reçu en outre d’importants renforts grâce au rapatriement des communautés juives du Proche-Orient et surtout d’Afrique du Nord dans les années 1960. La situation tend aujourd’hui à s’équilibrer, mais l’unité est encore loin d’être acquise.
Quelle que soit l’incidence des événements historiques, l’essentiel des pratiques religieuses s’est conservé au cours de la longue vie du judaïsme. Leurs caractéristiques les plus originales sont l’accent mis sur la famille et le respect formaliste de la loi divine.
L’importance de la famille s’explique par la nécessité de maintenir la culture juive dans une diaspora soumise aux influences étrangères.
Le formalisme est la conséquence de la référence à un texte immuable, la Torah. On constate le même phénomène dans l’Islam qui se fonde sur le Coran. Mais l’étude de la Torah et du Talmud développe sans doute les capacités intellectuelles ; elle peut même conduire à un penchant exagéré pour les jeux de l’esprit ou à un excès d’intellectualisme, souvent tempéré par une bonne dose d’humour. Un juif pieux s’efforce donc de respecter les 613 mitzvoth, les
1. Le mot grec pour « dispersion » désigne encore de nos jours les communautés uives vivant en dehors d’Israël, c’est la diaspora.
2. Ashkénaze est un nom biblique, celui d’un petit-fils de Noé.
commandements qui touchent toutes les circonstances de la vie courante, notamment les rites alimentaires que nous détaillerons plus loin.
Ainsi Dieu est présent à chaque instant de l’existence, de la naissance à la mort. La première cérémonie, qui introduit véritablement un garçon dans le peuple juif, est la circoncision, brith mila en hébreu ; elle est exécutée le huitième jour après la naissance par un médecin ou un spécialiste appelé mohel. Cette opération chirurgicale est chargée de symbolisme : elle évoque une nouvelle naissance et la coupure du cordon ombilical. Pour les filles, il existe une cérémonie de bénédiction du nom, le zeved haba, pratiquée par un rabbin à la synagogue ou au domicile.
La majorité religieuse intervient à 13 ans pour les garçons et à 12 ans pour les filles. L’enfant devient alors bar mitzvah, c’est-à-dire « fils du commandement » C’est le couronnement de la formation religieuse de l’enfant, donnée en famille et, dès l’âge de 5 ou 6 ans, dans une école religieuse rattachée à la synagogue.
Le mariage est aussi un moment important de la vie religieuse, car il permet au peuple élu de se perpétuer. La cérémonie est appelée kiddushin, c’est-à-dire sanctification.
Les mariés échangent leurs consentements à la synagogue sous un dais nuptial appelé houpah, qui symbolise à la fois leur future maison et la protection divine. Le jeune marié remet à son épouse un contrat de mariage, la ketoubah2. Un juif ne peut se marier à la synagogue avec une non-juive et il n’est pas possible à une femme de se convertir uniquement en vue du mariage. Cette exigence est motivée par le fait que la qualité de juif se transmet par la mère : est juif, un enfant d’une mère juive.
Le divorce, y compris par consentement mutuel, est admis par le judaïsme, mais au prix de procédures difficiles. Il est prononcé par le tribunal rabbinique, le Beth din.
On pourrait ainsi multiplier les exemples des rites et prescriptions qui scandent la vie du juif pieux. Nous y reviendrons dans la troisième partie a propos de la prière, des fêtes et des rites funéraires. Mais le respect de ces règles et coutumes dépend largement aujourd’hui de la forme du judaïsme à laquelle adhère le croyant.
Une réponse pour "La pratique du judaïsme"
MADAME et MONSIEUR
Moi Eprit Mauvais de DIEU
Je dis ! Vous des Chefs de la Religion Judaïsme, vous avez agi et montré, et dit, nous des Chefs de la Religion Judaïsme, on ne prie pas DIEU. Nous faisons seulement semblant.
Nous des Chefs de la Religion Judaïsme, on’a jamais eut la craint de DIEU. Il y e n avait personne de nous enseignons la crainte et les grandeurs de DIEU.
DIEU lui même, il a donné l’interdiction de tous ces lieux, pour un certains délai !
( – Le Dome du Rocher et le MUR des Lamentations à Jérusalem. Ce lieu d’Israël, où des Jui f s du monde entier, ça sera modus / moldu. – La Place du Mausolée a Nkamba des Kimbanguistes ça sera modus /moldu. – Les lieux importants Hindouistes ça sera modus / moldu. -La Mecque /Makkah de l’Arabi e Saoudite ça sera modus / moldu. -Les lieux importants de Bouddhistes ça sera modus / moldu. -Les lieux importants de Christianisme ça sera modus / moldu. )
Ce sont des lieux de la PRIÈRE, des lieux nous glorifions DIEU. Moi PROPHET, je vous ai écrit, dit et averti, et vous continuez toujour d’aller dans ces lieux, pour faire QUOI ? PRIER ?!
VOUS A N’AVEZ PAS OBÉI A DIEU
Après la DATE DIEU m’avait di ! De vous direz, comme vous avez refuse d’obéir de faire ce que DIEU avait dit DIEU VOUS A MODUS / MOLDU.
C’est – a – dire vous des Chefs de la Religion Judaïsme, vous n’avez pas encore le DROIT d’être debout devant les PUBLIQUES pour faire la PRIÈRE et de organise quelque chose. DÈS MAINTENANT, LAISSER L’AUTORITÉ A UNE AUTRE PERSONNE ! Ne vous se trompez pas l’interdiction de tous ces lieux contigne toujour !
Signe Prophet Ndoba, Prophet de DIEU. Prophet SEX. MAUVAIS ESPRIT DE DIEU. Envoyer pour ordre dedans et dehors. Responsable de tout Prophets et des Anges. Responsable de tous !